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Dernier jour de juillet! On décide de faire un détour par Port-au-Choix et d’aller faire un peu de tourisme. On nous a dit qu’on pouvait voir des caribous là-bas, et il y a un resto de poisson/fruits de mer qui a l’air bon. On n’a que 21 km à faire pour nous rendre à notre camping, mais on n’a plus le vent dans le dos; on l’a de côté ou de face. Ça roule moins vite!

Et on a des côtes aussi!
Le nom de la ville en grosses lettres de couleur, comme dans le Sud!

Quand on arrive sur la péninsule, il vente encore plus. On se demande même si on va réussir à monter la tente ici, au bord du golfe, avec tout ce vent, déjà qu’elle est brisée. Le tape n’a pas tenu…

On laisse nos bagages et on part en ville, toutes légères, pour un bon dîner, et un parcours du combattant à vélo dans le vent!

On se paye la traite!

On finit par arriver au Phare de Pointe Riche, et j’aperçois 4 caribous au loin : une famille. Quand Madeleine me rejoint, on en voit 1 autre.

Le Phare de Pointe Riche
Photo des caribous sans zoom
Photo des caribous avec zoom

Plus loin, sur le retour, je vois 3 originaux. C’est la totale! On rentre au camping, et Mado repasse par le restaurant où elle a échappé son chasse-moustique. Élément de camping très important, même si ici, avec tout ce vent, on est loin d’en avoir besoin.

On monte la tente tant bien que mal, derrière un cabanon, à côté d’un tas de sac de poubelles.

Notre emplacement de camping pour tenter de se protéger du vent

Je ne sais pas si on va réussir à dormir avec ce vent : tout le bruit que ça fait, la tente qui nous fouette en bougeant et qui menace de s’envoler… Le bruit des vagues est malheureusement enterré. On vous en donne des nouvelles demain!

Le bon côté à ça, c’est que mes cheveux sèchent vite en sortant de la douche!